Conclusion L’étalement urbain semble inexorable

Conclusion

L’étalement urbain semble inexorable et inévitable tant sont puissants les moteurs qui l’alimentent, et notamment les mécanismes économiques. Comme le montrent les outils envisagés pour lutter contre l’étalement urbain, il s’agirait donc désormais de mieux le maîtriser, de mieux maîtriser

l’aménagement.

Dans ce but de mieux gérer l'aménagement, les pouvoirs publics ont un rôle primordiale, notament par le biais du PLU qui devrait être géré de façon plus globale, (par le intercommunalité) afin de mieux gérer l'urbanisation par bassin de vie plutôt que par commune.

Le particulier a également un rôle important, la pensée de la maison unique à la campagne est une source de la péri-urbanisation. Les mentalités doivent donc changer pour pouvoir lutter contre l'urbanisation et le logement collectifs repensé.

Construire plus dense permet de réaliser des économies sur le foncier qui peuvent être réinvesties dans la qualité de la conception architecturale, urbaine et environnementale, en s'entourant de compétences et de savoir faire pour réaliser des opérations denses et agréables à vivre.

Quoi qu’il en soit, limiter l’étalement urbain ne pourra se faire sans l’adhésion des populations, souvent très réticentes. Des efforts sont entrepris afin de démontrer au plus grand nombre que la recherche de densité est compatible avec le maintien d’espaces verts et une qualité de vie élevée.

De plus les logiques économiques sont essentielle, ce sont elles qui dictent le plus souvent l'étalement principalement par la différence de prix du foncier entre agricole et constructible mais aussi entre le constructible en ville et en périphérie.

L'arrêt de ce phénomène est impossible mais réduire sont ampleur est obligatoire pour les générations futures car la préservation des zones naturelles et agricoles est viable.

Face à ce phénomènes de nouveaux mode de consommation sont crée tel que l'agriculture urbaine.